''From the three deep female voices, the brassy accents of the Bolivian contralto Angelica Monje Torrez emerge, doing justice to the somewhat thankless role of Matilda, a character torn between her contradictory passions and to whom the interpreter gives her credibility''. OLYRIX. Patrick Delacour
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À propos d’articulation du texte, de relief du récitatif, l’Euryclée d’Angelica Monje Torrez affirme une remarquable vérité dramatique, une présence humaine qui touche par son bon sens et sa tendresse [pour la reine] ; après des scrupules qui forcent la raison [« toute vérité n'est pas bonne à dire »], la suivante outrepasse sa nature et “ose” donner raison à Telemaque et Eumete, en témoignant qu’Ulysse est bien de retour.
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